BZRK - Michael Grant

« 2040. Noah est un jeune Anglais dont le frère ainé, Alex, est interné dans le QHS d'un hôpital psychiatrique. Sadie est une riche adolescente Américaine qui assiste à un match de foot et voit le jet privé qui transporte son père et son frère s'écraser sous ses yeux. Leur vie à tous deux va basculer dès l'instant qu'ils sont touchés par BZRK, l'organisation qui se bat pour préserver la liberté individuelle face au clan des jumeaux Armstrong dont le but est d'uniformiser les consciences pour garantir la paix de l'humanité. Bienvenue dans la nano-dimension, où des insectes plus petits que le diamètre d'un cheveu, se livrent une guerre sans merci contre la folie, dans le cerveau humain et dans les profondeurs de la chair. Perdre n'est pas une option envisageable quand on risque la démence...»

• Auteur : Michael Grant

• Traducteur : Julien Ramel

• Éditeur : Gallimard Jeunesse

• Genre : Jeunesse, Science-fiction, Thriller

• Thèmes principaux : Dystopie, Guerre, Science

• Année de sortie : 2012

• Nombre de pages : 432 pages

♥♥♥

Livre passable

Près d’un mois passé sur ces 400 pages, on pourra dire que j’ai peiné à lire ce livre dans son intégralité.

Dès le début, j’ai eu mal à m’y retrouver parmi les personnages et tous ces « insectes » présent dans le nano.

Si je ne m’étais pas engagée dans une lecture commune avec Bimzy, j’aurais probablement laissé tomber après quelques chapitres.

C’est seulement après une bonne centaine de pages que l’histoire devient prenante.

Sadie et Noah sont deux personnages plutôt attachants, j’aurais aimé les voir un peu plus présents, et surtout plus proches l’un de l’autre.

J’ai trouvé intéressante l’idée des passages décrits dans la « viande », un monde nouveau dans un cadre réel – notre corps en l'occurence – même si je me suis souvent trouvée perdue dans ses descriptions.

J’ai bien aimé l’écriture de l’auteur, cette manière de glisser de façon assez crue des scènes gores et violentes dans le récit comme si de rien n’était.

Malgré ça, j’ai eu du mal à rester concentré tout au long de ma lecture, à aucun moment je n’ai réussi à me « plonger » dans l’histoire. Les incompréhensions que j’ai rencontrées et le vocabulaire très scientifique y sont pour beaucoup.

Après un début complexe, une bonne seconde partie, la fin m’a plutôt déplu. Je l’ai trouvé longue et manquante en originalité.

Plutôt déçue par ce roman dont je ne lirai probablement pas la suite.

En revanche, j’aimerais beaucoup retrouver cet auteur avec sa série Gone dont les avis sont bien meilleurs. Je devrais d’ailleurs rapidement lire le premier tome à l'occasion de ma LC avec Laura.

"Personne ne contredira le fait que, durant toute l'histoire humaine, les hommes ont eu la liberté de choix, l'opportunité de préférer l'amour de son prochain à la haine. Personne ne niera non plus que, dans une large mesure, ce n'est pas la voie que l'humanité a choisie."

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Challenge :

26/60